29 AOUT 2012 NEWS: Chorges - Epannes - Leicester - Lingao - Paizay le Tort - Sévérac le Château -

INSTITUT SUPERIEUR D'ANTHROPOLOGIE

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FRANCEle-maire-christian-durand-laure-gautier-deux-archeologues-nathalie-molina-et-thomas-navarro-sur.jpg Chorges -. Des vestiges ont été découverts, appartenant à l’ensemble du château moderne (époque XVII e et XVIII e siècles). Cette opération fait suite à une autre intervention, en octobre 2010, sur une parcelle voisine. « Nous avons un an pour faire notre rapport, et après analyse des fragments d’objets, de matériel, de fer, et de pièces, nous pourrons déterminer si le site a été occupé avant le XVII e siècle. L’essentiel des informations est tiré du sol », explique Nathalie Molina. Le maire Christian Durand, présent sur le site, précise : « Nous avons effectué dernièrement quelques fouilles archéologiques, notamment sous la maison située place Lesdiguières, attenante à la voûte très ancienne à l’entrée du vieux village, lors de sa démolition, ainsi que divers repérages visuels et trouvailles sur la commune. » Prochainement un nouveau diagnostic mandaté par le ministère de la culture sera effectué sur la place du Fort, avant le reprofilage de la place, selon le projet prévu par la municipalité.

http://www.ledauphine.com/hautes-alpes/2012/08/28/des-vestiges-de-l-ancien-chateau-ont-ete-decouverts

FRANCE - epannes-le-chantier-stoppe-par-des-ossements-humains-slider.jpg Epannes - Dans l'allée du Château qui longe le cimetière et mène à l'église, les pelleteuses ont creusé sur une trentaine de mètres une profonde saignée. Large de près d'un mètre, profonde d'un peu plus de deux, elle présente un sous-sol rocailleux, composé de gros blocs calcaires. Au-dessus de cette couche inférieure et juste sous le bitume déchiré par les pelles, une épaisseur de terre, de quarante à soixante centimètres selon les endroits, laisse émerger très nettement des bris de squelettes. « Ce qui est incroyable, s'étonne encore Roland, c'est qu'on en voit sur toute la longueur. » Sur toute la longueur et sur les deux côtés de la tranchée, on distingue des éclats d'os, des côtes brisées, des vertèbres démantelées, on voit parfaitement un crâne prolongé à quelques centimètres de sa colonne vertébrale partiellement émergée, à quelques mètres encore affleure un couple tibia-fémur… Mais aucune trace apparente de pierre tombale ou de sarcophage, les corps reposent à même la terre. Aucun objet non plus n'a été observé. Cimetière ? Fosse commune ?… Le maire d'Epannes, Dominique Vallée, pense que si c'est là l'ancien cimetière de la commune, il est antérieur à 1830 car « sur le cadastre napoléonien datant de cette époque, l'allée du Château existe déjà ». Ces ossements ont été remarqués, quand ils ont commencé à rouler sous le jeu des pelles. Cette portion du chantier a aussitôt été stoppée , les responsables se sont tournés vers le service archéologique de la Direction régional des affaires culturelles, la Drac. Qui a dépêché sur place un de ses techniciens, Anne-Marie Couttenceau, chargée d'évaluer l'importance de la découverte.

http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux-Sevres/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2012/08/24/Epannes-le-chantier-stoppe-par-des-ossements-humains

ROYAUME UNI – Leicester - The stone remains are the first clue identified by a Leicester University team who last weekend began excavating the car park of a social services building in Leicester in the hope of finding the missing king's resting place. Experts believe the stone is of medieval date and could belong to the walls of Greyfriars church, part of a Franciscan friary in which Richard, the last Plantagenet king of England, was buried after his defeat at the Battle of Bosworth in 1485. Richard Buckley of the University of Leicester told the Telegraph before the dig began it was "entirely possible" that the site could contain Roman ruins instead of the remains of the friary, or a mixture of both. If the team's suspicion is confirmed and the walls are identified as part of Greyfriars church, they will attempt to locate Richard III's remains underneath the altar or choir. Historical records show that Richard was buried in the church after his body was put on display in Leicester following his defeat by Henry VII at Bosworth, but following the dissolution of the monasteries its exact location was forgotten. The car park was designated the most likely site of the historic church after Mr Buckley and his colleagues compared medieval maps of Leicester with modern ones. Even if the church is found, there are questions over whether the king's body will ever be found because a legend suggests he was exhumed and tossed into the river when the friary was torn down. But most historians have dismissed the claims as a myth and argued that the balance of historical evidence suggests his remains will still be where they were buried more than 500 years ago.

http://www.telegraph.co.uk/history/9505737/Have-archaeologists-found-church-where-Richard-III-was-buried.html

CHINE – Lingao - The southernmost island province of Hainan is rushing to save two large ancient sea salt pans that could date back over 1,000 years, the Hainan Provincial Museum said Monday.  The two salt pans, located in two villages of Lingao County with a combined area of 1,700 mu (113 hectares), were originally constructed during the Tang Dynasty (618 to 907 AD), said an archaeologist with the museum. Both salt pans have sustained serious damage, as one was deserted in the 1970s and only small portions of the other remain in use, said the archaeologist. Earlier this month, a group of archaeologists launched field investigations on the two salt evaporation ponds, and they are in the process of making detailed plans to protect the cultural relics. The salt industry served as a pillar industry in ancient Hainan and were a major source of funds to support military expenses at the time.

http://www.kaogu.cn/en/detail.asp?ProductID=3615

FRANCEde-la-pioche-au-bistouri-image-article-large.jpg Paizay le Tort - La société d'histoire et d'archéologie de Melle et du Mellois procède en cette fin d’été à l’inspection méticuleuse des restes d’une église à Paizay-le-Tort. « C'est parfois assez ingrat mais souvent passionnant. Il ne s'agit pas d'une chasse au trésor, mais ce site est très intéressant, après quelques jours de fouilles, nous avons découvert un escalier ainsi que six sépultures ». Il suffit parfois d'un changement de couleur ou de consistance pour repérer un élément particulier, un sol ancien sera obligatoirement plus compact. Les bénévoles inspectent également le terrain qui recevait la partie de l'église démolie en 1848. « Nous allons creuser jusqu'à la roche, nous découvrons au fur et à mesure. Ce chantier se prolongera l'année prochaine »

http://www.lanouvellerepublique.fr/Toute-zone/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2012/08/27/De-la-pioche-au-bistouri

FRANCE201208231187-w350.jpg Sévérac le Château - Dans le cadre de la restauration de tout monument historique classé, des fouilles archéologiques sont toujours organisées en amont du chantier afin de protéger le site.  Ainsi, depuis lundi, et durant toute la semaine, des sondages sont entrepris en plusieurs points du chantier afin d'apporter les informations nécessaires à l'architecte des Bâtiments de France. Lequel s'appuiera sur les éventuelles découvertes pour les intégrer si nécessaire afin de restaurer au mieux le château. Outre différents clous, un plomb et quelques fragments de céramiques très colorées, il a été trouvé le dallage de la salle des Hommages possiblement recouvert d'un petit niveau de carreaux peints ainsi que la partie basse d'une allège (appui de la fenêtre). Autant d'indices suffisamment précis pour évaluer la période concernée au XVIIe siècle.

http://www.ladepeche.fr/article/2012/08/23/1423821-severac-le-chateau-le-chateau-abrite-des-fouilles-archeologiques.html