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26 AOÛT 2016 NEWS: Gydan - Bagan - Hintonburg - Algans - Bourogne - Esvres -

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RUSSIE - 416567 Gydan Peninsula - Archaeologists have unearthed an Iranian cup dated to the Middle Ages during an expedition to the Gydan Peninsula on the coast of the Kara Sea in the Yamal-Nenets Autonomous Area, the government of this Siberian region has reported on its website. "Archaeological studies of the area around Lake Parisento and the Yuribei River, located beyond the Arctic Circle, have resulted in surprise finds such as a bronze Iranian cup dated to the Middle Ages (5th to 15th centuries). Artefacts from this era have been found in West Siberia before, but never so far in the northeast, let alone in the Arctic. The exact age of the cup will be determined after further studies," said Andrei Gusev, senior researcher at the archaeology department of the Center for Arctic Studies. In all, archaeologists have found eight items, including ceramic pieces and iron and bronze items, as well as mammoth remains in the upper reaches of the Yuribei River. nnn

http://arctic.ru/geographics/20160823/419181.html

MYANMARImage 1 Bagan - A 6.8-magnitude earthquake struck central Myanmar’s Magway region early Wednesday, killing at least three people and damaging hundreds of buildings and Buddhist pagodas in an archaeological site in the nearby ancient city of Bagan. The earthquake damaged 94 ancient pagodas in Bagan, including Sulamani, Dammangyi, Lawkananda, Mya Sati and Hteelo Minlo, as well as the ceiling of the upper house of the regional parliament in Magway, sources said. Other news reports said nearly 200 pagodas were damaged by the quake.

http://www.rfa.org/english/news/myanmar/earthquake-kills-at-least-three-people-destroys-ancient-pagodas-in-central-myanmar-08242016164533.html

CANADARailroad turntable bayview station excavated ottawa Hintonburg - archaeologists have unearthed a 145-year-old slice of rail history near Bayview station in the city's Hintonburg neighbourhood. The railway turntable, also known as a wheelhouse, was operated by the Ottawa St. Lawrence Railways. It was discovered two weeks ago on the site where Trinity Developments is planning to build several mixed-use condo towers. In its day, trains entered the limestone turntable from the east and were shunted manually along a wooden pivot line in the centre  — or, they entered one of three spur lines that made their way into a maintenance house.  Most of the turntable's wall and the three spur lines were uncovered more or less intact, although a fire that happened around 1883 has left the stone a burnt orange colour. 

http://www.cbc.ca/news/canada/ottawa/rail-turntable-bayview-station-lrt-excavated-1.3732809

FRANCE 201608230226 full Algans -  «A la suite du creusement d'un fossé à l'automne 2015, sur la commune d'Algans, une structure jusqu'alors inconnue avait été mise au jour et signalée au Centre archéologique du Puylaurentais par Thierry Lèguevaques, le propriétaire et par Yvan Farenq.» Après information auprès du Service Régional de l'Archéologie, une équipe du CAP s'est rendue sur place, à Algans, pour effectuer des croquis et des photographies. L'examen des vestiges céramiques a montré la présence d'un four de tuiles et de briques de l'Époque Moderne, probablement du 17e ou du 18e siècle.

http://www.ladepeche.fr/article/2016/08/23/2404783-archeologie-four-tuiles-briques-mis-jour.html

FRANCEUn squelette en parfait etat de conservation a ete retrouve a proximite d anciennes habitations photos xavier gorau 1471892564 Bourogne - Depuis combien de temps gît-il là ? Depuis 1.300 ans peut-être… La terre glaise qui a recouvert ses os les a protégés à travers les siècles. Tout est en place, à peine altéré. Un solide gaillard d’environ 1,80 m, mort dans la force de l’âge, entre 30 et 50 ans. Le corps n’a pas été enterré à la sauvette mais il n’y a pas de trace, pas encore, de rite chrétien. À voir les marques de trous de fondations autour, il a été placé à proximité d’une habitation, mais seul, à l’écart de la nécropole mérovingienne qui domine les Champs Bernardot à Bourogne. Les os ont été retirés un à un hier et envoyés en laboratoire pour analyse de datation mais pour l’heure, David Billoin, le responsable scientifique des fouilles archéologiques, ne cache pas son enthousiasme. La campagne de fouilles qui s’achève a levé encore un peu plus le voile sur le passé de Bourogne. Les derniers résultats confirment que le lieu est habité de manière continue depuis très longtemps. Des haches et des pointes de flèche du néolithique (- 5.000 av. J-C.) ont été retrouvées. Le sol a livré les traces d’habitats gaulois (- 450 av. J.-C.), ainsi que celles d’un enclos qui appartenait sans doute à la villa gallo-romaine qui se tenait à la place de l’actuelle église de Bourogne. Surtout, les archéologues ont décelé les preuves d’une implantation importante pendant la période mérovingienne (VI-VIIe s.). Les traces laissées dans le sol signalent une occupation dense avec des habitations en bois. Ce n’était pas là la masure de simples paysans. L’équipe de l’INRAP a relevé la présence de scories en fer, caractéristiques de l’activité d’un forgeron. La trace d’un pressoir, qui pourrait être plus récent, est également visible. D’autres creusements, constructions ou aménagements montrent l’évolution de cette partie de Bourogne, au pied de l’ancien château, du Moyen-äge à nos jours. Le squelette, lui, garde son mystère. L’homme -il semble bien que ce soit un homme- ne paraissait pas être riche à en croire les restes de son ceinturon. Le fait qu’il ait été enterré seul, à l’écart du cimetière, ne fait pas de lui un paria : « Avant que l’Église catholique n’impose l’enterrement dans un lieu consacré commun, à partir du Xe-XIIe s., les familles étaient libres d’enterrer leurs morts ailleurs, dans un jardin, sous un arbre. Si ce squelette est aussi vieux que nous le pensons, il n’y aurait rien d’anormal à le retrouver ainsi isolé » explique David Billoin.

http://www.estrepublicain.fr/edition-belfort-hericourt-montbeliard/2016/08/23/bourogne-un-squelette-parfaitement-conserve-dans-une-tombe-vieille-de-1-300-ans

FRANCE A esvres sur indre remonter le temps slider Esvres - Au VIIIe siècle, Esvres était une viguerie (juridiction) qui s'étendait de Veigné à Azay-sur-Cher. En 1070, le village se dotait d'un prieuré puis d'une forteresse contrôlant de nombreux domaines seigneuriaux environnants. De récentes recherches ont prouvé une occupation antérieure, dès l'époque gauloise de la Tène, puis gallo-romaine. Pendant ce mois de juillet 2016, Nicolas Fouillet, Jean Philippe Chimier, Mélanie Simard et Olivier Marlet, archéologues à l'Inrap mandatés par la Drac (financement de l'État) ont effectué des recherches, ciblées sur le bâti ancien situé dans le secteur de la route de Tours jusqu'au nord de la place Joseph-Bourreau. Ces fouilles ont été effectuées à la fois chez des privés et aussi dans le domaine public. Les recherches ont révélé la présence d'un vingtaine de maisonnettes datant du XVIe siècle. Les vingt unités d'habitations sont cachées par de récentes constructions, leurs murs sont épais de 80 centimètres, en pierres montées au mortier à la chaux. Elles sont constituées d'une seule pièce et parfois elles disposent d'une cave qui servait à entreposer des céréales, de la nourriture et des provisions en général. Leurs caves ont aussi servi à l'extraction de pierres. 

http://www.lanouvellerepublique.fr/Indre-et-Loire/Loisirs/Patrimoine-tourisme/n/Contenus/Articles/2016/08/22/A-Esvres-sur-Indre-remonter-le-temps-2815972