25 AVRIL 2017 NEWS: Trondheim - Ikedjane - Poitiers - Tobna - Jamestown -

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NORVEGENorway excavation site ruins of st clements church  Trondheim - Last year, scientists unearthed the foundation of an old wooden stave church in Tronheim, Norway, which many believed to be the site where King Olaf Haraldsson, was enshrined after his sainthood in the 11th century. Archaeologists from the Norwegian Institute for Cultural Heritage Research believed the site to be St. Clement's, a church built in 1015, which was reduced to rubble during the 13th century. Further diggings in the area began in February with the use of laser scanning technology. Recent excavations showed that deep below the discovered church ruins are more ancient remains of a settlement, including an even older church. Excavation leader Anna Petersen relayed in an email to Fox News that the diggings trace back to the Iron Age. "We have identified rich remains of an Iron Age settlement on the site, most likely belonging to a Viking Age 'kaupang,' sealed under thick deposits of natural sand that have been formed by a flooding of the river Nidelva," said Petersen. Vikings trade their goods in the marketplace also called a "kaupang" and the researchers think that the place used to be a flourishing trade center. For the group to further investigate the settlement, it said the ruins of the St. Clement's church t be removed to give them deeper access to the ground. "We will soon begin to remove the remains of the upper church and are eager to find more posts and postholes relating to the previous building in the sand," said the excavation leader. "And as the last of many highlights from this spectacular site we will explore the Viking Age settlement."Olaf II Haraldsson was the King of Norway until his defeat and death at the Battle of Stiklestad. His reign in the Scandinavian country lasted from 1015 to 1028.

http://www.christianpost.com/news/archaeologists-discover-major-viking-settlement-beneath-church-ruins-in-norway-181357/

ALGERIEStele 2625219 465x348 Ikedjane - Une stèle portant des gravures en caractères libyques a été découverte dans un champ d’oliviers non loin du village d’Ikedjane, commune de Tifra, sur le versant sud du massif de l’Akfadou, dans la wilaya de Béjaïa. «Ce bloc gréseux brunâtre non dégrossi porte sur une face naturelle relativement plane des gravures en caractères libyques parfaitement lisibles. Il s’agit d’une stèle funéraire portant un texte court que les épigraphes pourraient restituer. La grande majorité des inscriptions libyques découvertes en Afrique du Nord sont réservées au domaine funéraire. On connaît néanmoins des exceptions, comme celle de Dougga en Tunisie qui date du règne de Micipsa et qui commémore la construction d’un temple dédié à Massinissa en 138 av. J.-C.», analyse Farid Kherbouche. «L’emplacement de la découverte de l’inscription d’Ikedjane peut correspondre à celui d’une nécropole, mais aucune construction ni sépulture ne sont actuellement visibles en surface. La roche est d’origine locale et nous pensons même qu’elle a été extraite non loin de son lieu de découverte. Des négatifs d’enlèvements sur un gros bloc in situ correspondent aux dimensions de notre stèle. Des fouilles et sondages archéologiques sur ce site pourraient préciser le contexte (funéraire) et la datation de cette inscription», poursuit l’archéologue. Sollicitée par nos soins, Samia Aït Ali Yahia, maître de conférences à l’université de Tizi Ouzou, spécialiste des stèles libyques et auteur de deux ouvrages sur le sujet, a bien voulu nous livrer son interprétation. «La stèle qui se présente sous forme d’une dalle rectangulaire brisée sur le côté gauche comporte des gravures composées de caractères libyques constitués de 4 lignes écrites verticalement et de 14 caractères», analyse en premier lieu notre spécialiste en épigraphie. Elle ajoute que le terme «caractères libyques» désigne l’écriture des anciens Berbères. C’est un mot qui tire son origine de Libye, terme par lequel les Grecs désignaient l’Afrique, ou encore de Lebou terme par lequel les pharaons désignaient la partie occidentale de l’Egypte.

http://www.elwatan.com/hebdo/magazine/decouverte-d-une-stele-libyque-23-04-2017-343838_265.php

FRANCELa place charles vii auscultee slider Poitiers -  Les archéologues de l'INRAP (Institut national de recherches archéologiques préventives) ont profité des vacances scolaires pour scruter pendant quatre jours le passé de la place Charles-VII. Deux tranchées d'environ dix mètres de longueur ont été ouvertes mardi de part et d'autre du bassin et ont livré leurs informations avant d'être refermées hier après-midi par des gravillons avant une finition temporaire en ciment. « Nous nous trouvons sur l'emplacement médiéval du marché neuf qui dès le 13e siècle est le lieu de commerce principal de la ville. Il s'étendait sur trois places reliées par un marché-rue, explique l'archéologue Frédéric Gerber.  Les historiens situent ici l'herberie du marché où se vendaient les plantes médicinales et aromatiques. Un bâtiment est encore connu au 19e siècle grâce au cadastre de 1838, une interprétation y voit le tracé d'une halle médiévale. »  De l'époque médiévale, l'une des deux saignées a livré peu d'éléments si ce n'est les vestiges d'une fosse rectangulaire maçonnée à l'intérieur. L'autre, plus riche, a révélé des tessons médiévaux dans les remblais – qui permettront une datation précise par un céramologue – et un large mur avec un seuil donnant sur un espace dallé. « Les remblais recouvraient la voûte d'une cave qui n'était pas connue et qui est probablement vide », commente l'archéologue. En revanche, aucun élément n'a été mis au jour pour les périodes du bas empire et antique. Ce qui ne permet pas d'établir les liens espérés avec les vestiges du podium d'un important monument du Poitiers romain découverts à deux pas dans les caves de la rue Cloche-Perse.

http://www.lanouvellerepublique.fr/Vienne/Actualite/24-Heures/n/Contenus/Articles/2017/04/22/La-place-Charles-VII-auscultee-3075015

ALGERIE – Tobna - Une équipe spécialisée de l’Institut d’archéologie de l’université Alger 2, dirigée par le professeur Mohamed El Mostefa Filah, a repris récemment les travaux au site archéologique de Tobna, daïra de Barika (Batna), Cette équipe procédera, du 15 au 28 avril, à l’opération du lever topographique et à photographier les repères apparents de la cité antique Tobna, a expliqué le même responsable qui a affirmé que cette cité renferme plusieurs sites ensevelis sous terre, selon plusieurs sources historiques.  La cité antique Tobna, située sur les frontières administratives des communes de Bitam et de Barika (Batna), puise sa célébrité de son trésor archéologique remontant à l’époque romaine et à l’ère islamique

http://www.lesoirdalgerie.com/articles/2017/04/22/article.php?sid=212585&cid=16

USAKnightstomb1 Jamestown - Archaeologists at Historic Jamestown are digging into one of the greatest mysteries of the first English settlement in America: a knight’s tombstone that has been laying on the floor of a church for nearly four centuries. The tombstone posed several mysteries for the Preservation Virginia team. Whose grave does it mark?  What steps should be taken to preserve the damaged stone? And how will the team lift the roughly 1,200 pound stone onto a stable work surface without further damage — or injury?By process of elimination, the two most likely candidates are colonial Governors Sir George Yeardley and Thomas West, The Lord de la Warre, Bassett said. The next step for the team was to study the family records of the two men. When you’re studying mortuary practices, when you’re studying monuments, you never want to go to the records of the person who died, you want to go to the records of their offspring, of their family members who are still living,” said Bassett. “They’re the people who are largely going to be dealing with the logistics of getting a massive stone over here.” Bassett said after searching through the journals of both men’s extended families, he thinks Preservation Virginia may have found mentions of the stone by Yeardley’s step-grandson Adam Thorowgood II, whose mother married Yeardley’s youngest son, Francis. “What they mention is that they would like to have a black marble tomb with the crest of Sir George Yeardley and the same inscription as upon the broken tomb,” Bassett said.  “We believe that might reference this stone.” Bassett said the outlines of the brass also offer evidence indicating the stone marked Yeardley’s final resting place. The silhouette of the knight’s helmet is in the style of the first quarter of the 17thcentury, as is the pedestal upon which the knight is standing. Yeardley died during this time frame in 1627. He became governor in 1618, and his legacies include presiding over the English-speaking representative government in the New World, being among the first Virginians to own African slaves, setting the price of tobacco and fortifying the Jamestowne fort.

http://wydaily.com/2017/04/21/jamestown-unearthed-archaeologists-begin-conservation-of-knights-tombstone/