23 JUIN 2020 NEWS

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SUMMER TERM : JULY 2020

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IRAN – Bb15oz4d Tepe Ashraf  - “The discovery of the second giant jar-tomb in the sole historical hill of Isfahan – (‘Tepe Ashraf’ or ‘Tappeh Ashraf’) -- has proved a previous hypothesis suggesting the existence of a Parthian-era cemetery on the east of the hill. Now, Tepe Ashraf is the second place after the Tepe Sialk (in Isfahan province) that has yielded the discovery of such jar tombs that offers valuable clues to uncover the obscure history of pre-Islamic Isfahan. Over the past couple of days, the team has uncovered ancient stone well estimating to date back to the time of Sassanids. Some clay works from Seljuk and Buyid dynasties have also been found 

https://www.msn.com/en-xl/news/other/discovery-of-bizarre-tomb-offers-clues-to-ancient-life-in-isfahan/ar-BB15oZ4L

RUSSIE - Novotitarovskaya - Paired burials were discovered near Novotitarovskaya settlement in the Dinsky district, attributed to late Bronze Age, or the end of the 3rd millennium BC. The archaeologists discovered these ancient artefacts on the territory being prepared for the construction of the M-4 highway's remote western bypass of Krasnodar. A ritual burial is traditional for that period. The scientists believe that a chieftain or a nobleman is buried there. According to tradition, a warrior of a high social status was followed by servants, members of the bloodline or even children into the grave. "The status of the buried person is confirmed by items discovered nearby — a bronze knife, two silver temporal pendants, and piercing tools made of bone, used in the household," the company press service said, adding that the researchers expect to find other burials in this tumulus as well.

https://tass.com/society/1169645

FRANCE – Vfcgjialcftdwqlzsyed6rypei Vauréal -  En juin 2019, avec une quinzaine de personnes, il a entrepris des fouilles sur le passage couvert du cimetière des Anglais, un monument historique laissé à l'abandon pendant un demi-siècle et qui n'avait jamais fait l'objet de telles recherches. Les résultats de ces fouilles sont à découvrir en ligne* à l'occasion des Journées européennes de l'archéologie de ce vendredi à dimanche. Au néolithique (entre -3300 et -2200), cette allée couverte servait de cimetière aux populations sédentaires. Parmi les 3 500 restes humains découverts lors de cette campagne de fouilles, quelques-uns ont attiré l'œil de l'expert. « Certaines vertèbres montrent des petites taches noires nécrosées qui attesteraient de la tuberculose, explique Jean-Gabriel Pariat. On n'a pas de comparaison à cette époque en France, c'est un petit scoop pour Vauréal. » En effet, l'ancienneté de cette maladie n'est pas connue précisément. « On l'estime à la période mésolithique (-8000) mais on n'en a pas la preuve, poursuit l'archéologue. Sur les maladies anciennes, chaque découverte est importante. » À sa connaissance, le cas le plus ancien de tuberculose avéré sur le territoire français remonterait à l'époque gallo-romaine, soit environ 300 ans av. J.C. Et il a justement été découvert dans le Val-d'Oise, lors d' opérations de fouilles menées à Frépillon en 2016. Une trouvaille qui n'a cependant été que partiellement confirmée. À Cergy, une bactérie tuberculeuse a bien été isolée de l'ADN de l'os. Mais les scientifiques ont affirmé que les ossements étaient trop abîmés pour conclure. C'est pourquoi les vertèbres découvertes à Vauréal vont être directement prises en charge par le Musée de l'Homme, à Paris. Dans le courant de l'année, les chercheurs en maladies anciennes vont tenter de confirmer ou d'infirmer la théorie de l'archéologue sur les taches nécrosées observées. « On va séquencer l'ADN présent dans l'os et chercher les marqueurs spécifiques de la tuberculose en comparant chaque fragment grâce à la biologie moléculaire car l'ADN n'est pas visible au microscope, détaille Céline Bon, paléogénéticienne spécialiste de l'ADN ancien au Musée de l'Homme. Ce qui serait intéressant, c'est de voir comment la bactérie a évolué au fil du temps pour la comparer à des pathologies d'aujourd'hui. »

https://www.leparisien.fr/val-d-oise-95/val-d-oise-des-traces-de-tuberculose-datant-du-neolithique-a-vaureal-19-06-2020-8338521.php

FRANCE Fouille planitre ouistreham 854x596 Ouistreham - Lors des premières fouilles, réalisées par institut national de recherches archéologiques préventives (Inrap) entre les mois de février à mai, il avait été découvert des vestiges de l’âge de bronze (environ 1 700 avant notre ère) sur le site de 6 ha du Planitre. Un site à l’ouest de Ouistreham, promis l’urbanisation. Des tombes avec des ossements mal conservés, des fossés de parcellaires, des foyers avec des pierres… « Nous avons trouvé des nécropoles dessinant neuf cercles, avec une douzaine de sépultures contenant des squelettes humains en position, » dévoile Emmanuel Ghesquière, archéologue. Une autre mise au jour a démontré l’exploitation du sel dans la commune. Celle de poteries très anciennes qui devaient servir à faire bouillir le sel. « Certaines très intéressantes de l’âge de bronze et d’autres de la fin de l’époque gauloise. Ce sont des morceaux façonnés rudimentairement avec les doigts. “ Qui implique une exploitation du sel sur le site, sans doute du commerce ou du troc vers l’intérieur des terres. Le contexte de la proximité de la mer, des estuaires, et des marais salants en contrebas du site faisait que les communautés qui vivaient là, avaient, en plus de l’agriculture et de l’élevage, l’exploitation du sel et son commerce.Lors d’une deuxième phase d’installation, qui se situe au début du Bronze moyen, vers 1 500 av. J.-C, l’équipe d’archéologues a constaté un remaniement complet des fossés. Puis, après une période d’inoccupation, on retrouve d’autres fossés au cours de l’âge du fer 400 avant notre ère. Puis, de nouveau des traces d’occupation d’un réseau plus important de la période gauloise. Plus récemment, Emmanuel Ghesquière et son équipe ont découvert des traces de la Seconde Guerre mondiale. Ils assurent que des batteries ont été installées sur le site.

https://actu.fr/normandie/ouistreham_14488/journees-de-l-archeologie-a-ouistreham-des-decouvertes-entre-l-age-de-bronze-et-le-6-juin-1944_34408225.html

CHINE - Fuguzhai - Dans la province du Shaanxi, dans le nord-ouest de la Chine, le site archéologique de la montagne Fuguzhai dévoile de nouvelles informations sur les débuts de la vie sociale de la région. Un cimetière récemment mis à jour témoigne de la formation du premier ordre social de la région.

VIDEO = https://www.youtube.com/watch?v=PmiJDt445Js

GRECE – Mycenaean woman – Genetic - New emerging DNA evidence suggests that living Greeks are indeed descendants of the ancient Mycenaeans, who ruled mainland Greece and the Aegean Sea from 1,600 BC to 1,200 BC. The proof comes from a study in which scientists analyzed the genes from the teeth of 19 people across various archaeological sites within mainland Greece and Mycenae. A total of 1.2 million letters of genetic code were compared to those of 334 people across the world. Genetic information was also compiled from a group of thirty modern Greek individuals in order to compare it to the ancient genomes. This allowed researchers to effectively plot how individuals were related to one another. One aspect that was revealed in the study was how the Mycenaeans themselves were closely related to the Minoan civilization, which flourished on the island of Crete from 2,000 BC to 1,400 BC. Both cultures were shown to carry genes for brown hair and brown eyes, characteristics that are reflected on their frescoes and pottery, despite having different languages. According to Harvard population geneticist Iosif Lazaridis, any difference between the two civilizations suggests that a second wave of people came to mainland Greece from Eastern Europe, yet were unable to reach the island of Crete — and in time they became known as the Mycenaeans. After comparing the DNA of modern Greeks to ancient Mycenaeans, a genetic overlap was discovered that suggests that these ancient Bronze Age civilizations laid the genetic groundwork for later peoples. Swedish Archaeologist Kristian Kristiansen at the University of Gothenburg commented on the significance of the study recently, saying that “The results have now opened up the next chapter in the genetic history of western Eurasia — that of the Bronze Age Mediterranean.”

https://greece.greekreporter.com/2020/06/22/new-evidence-supports-modern-greeks-having-dna-of-ancient-mycenaeans/

ROYAUME UNI 29885746 8445049 image a 15 1592763885234 29885748 8445049 image a 16 1592763888601 Durrington Walls - A team of archaeologists have discovered a major new prehistoric monument just a short distance away from Stonehenge. Fieldwork and analysis have revealed evidence of 20 or more massive prehistoric shafts - more than 10 metres in diameter and five metres deep - forming a circle more than two kilometres in diameter around the Durrington Walls henge. Coring of the shafts suggest the features are Neolithic and excavated more than 4,500 years ago - around the time Durrington Walls was built. It is thought the shafts served as a boundary to a sacred area or precinct associated with the henge.

https://www.dailymail.co.uk/news/article-8445049/New-prehistoric-monument-dating-4-500-years-discovered-English-countryside.html

IRAN - Gerd Ashvan - Two ancient clay-jar tombs, embracing child corpses, have recently been unearthed near Gerd Ashvan village, West Azarbaijan province, northwest Iran. “In Gerd Ashvan, two burial places were found embedded in pottery jars, which was a common tradition during the Copper and New Stone ages,” IRNA quoted archaeologist Mahnaz Sharifi as saying on Saturday. “Burial of children in jars or large bowls was a widespread tradition in large areas from the Caucasus to northwestern Iran. And similar examples have been reported in Alchan Tappeh, Gara Hill in Mesopotamia, South Caucasus, amongst other places,” Sharifi, who led the archaeological excavation at Gerd Ashvan, said. Jar-burials are human burials where the corpse is placed into a large earthenware and then is interred. Jar-burials are a repeated pattern at a site or within an archaeological culture. When an anomalous burial is found in which a corpse or cremated remains have been interred, it is not considered a "jar burial". Jar-burial can be traced to various regions across the globe. It is noted to have been practiced as early as 900 BC, and as recent as 15 CE-17th centuries. The origin of this practice is considered to be the different concept of death held by these cultures. In such societies, death is held to involve a slow change, a passage from the visible society of the living to the invisible one of the dead.

https://www.tehrantimes.com/news/449074/Clay-jar-tombs-holding-child-corpses-unearthed-in-northwest