ARCHEOLOG-HOME / INDIana-UNIversitas
- 14 JUILLET
PRE-INSCRIPTION : 15 Juin – 15 Août
PRE-REGISTRATION: June 15th - August 15th
- CHINE – Tianziping - Archaeologists in central Hunan Province began excavation on July 4 of the Tianziping site, which is believed to date back to the Neolithic Age, according to the local cultural relics department. Dozens of cultural relics have been found, including some stone axes, pottery pieces, and bronze wares. Located on the bank of the Zijiang River in Tongmu Village of Shaodong County, the Tianziping site covers 5,000 square meters. The excavation of the site will contribute significantly to archaeological research around the Zijiang River basin, which is closely watched in the world of Chinese archaeology, said Hu Guanghua, director of the Shaoyang Municipal Cultural Relics Bureau.
http://www.kaogu.cn/en/detail.asp?ProductID=2939
- FRANCE – Poitiers - Des murs et de la céramique de la période romaine ont été mis au jour sur le site de l'ancien hôpital Pasteur. Une confirmation des fouilles précédentes. La tranchée d'un peu plus d'un mètre creusée par l'engin d'une entreprise deux-sévrienne a d'abord mis au jour des traces de fondations d'un bâtiment. « Le mur a disparu. Les pierres ont été récupérées. Mais on voit les différences de couleurs avec le terrain qui n'a connu aucune construction. » Plus intéressant un peu plus loin : un bâtiment enterré de 2 m sur 3. Une cave ? Des latrines ? Les deux chercheurs de l'INRAP secondés par un archéologue bénévole, n'ont pas de réponse. Ils ont aussi mis au jour un second édifice au-dessus de ce bâtiment. Exhumé également, un riche mobilier - de nombreuses céramiques - qui témoigne du niveau de vie des habitants. Anne Gegouzo pense que ces vestiges sont ceux d'une « domus » périurbaine : un ensemble de constructions qui complètent les découvertes Longuemar de 1874, à quelques dizaines de mètres. Des thermes avaient alors été mis au jour. Une certitude : il y avait des constructions à l'extérieur de la ville dès l'Antiquité.
Autre certitude : l'équipe d'Anne Gegouzo n'a mis au jour aucun élément de l'époque médiévale. De fait, l'ancienne abbaye Saint-Cyprien se trouvait à l'autre extrémité du site de Pasteur.
http://www.lanouvellerepublique.fr/LOISIRS/Patrimoine-tourisme/Vestiges-antiques-a-Pasteur
- SUEDE – – Hagby - Dating from the early 11th century, the stone is an unsigned work of Åsmund Kåresson (U 875). It's unusual in that it has a couple of Bronze Age cupmarks too. The inscription reads, "Tyrvi and Ingegärd and Tjälve had this stone erected after Kalv, Tyrvi's husband. May God and God's mother help his spirit." Note the cross and the prayer. Did you know that a huge majority of the runic inscriptions date from after the Christianisation of Scandinavia? The neo-Pagans should do their scrying in Roman capitals instead.
http://scienceblogs.com/aardvarchaeology/
- FRANCE – Dax - L'archéologie, une science exacte ? Au vu des récentes découvertes dans le sous-sol de Dax, rien n'est moins sûr. Depuis qu'Alain Bouet, un universitaire du Mirail, à Toulouse, a remis en cause il y a quelques mois l'interprétation des vestiges conservés dans la crypte archéologique de la rue Cazade. Après l'hypothèse des thermes, plutôt naturelle pour Dax, après l'hypothèse du temple, qui tenait le haut du pavé depuis une dizaine d'années, il semblerait qu'on s'oriente aujourd'hui vers celle d'une basilique, un bâtiment de plus de 127 mètres de long. Monument indispensable à la vie de la cité, la basilique romaine est un lieu public qui abrite des activités multiples : réunions, affaires bancaires et judiciaires, conservation des archives… « C'est lors de l'aménagement du quartier, en 1978, que les vestiges antiques de l'îlot central ont été découverts. Il avait alors été décidé d'aménager une crypte sous le bâtiment, pour garder une partie du résultat de ces fouilles visibles. Mais l'interprétation du temple n'était pas tout à fait satisfaisante. » Ce sont les alcôves situées à l'extrémité du bâtiment qui ont définitivement discrédité cette thèse. « Alain Bouet a conclu que les contreforts étaient trop importants pour supporter une simple terrasse, et qu'aux deux extrémités du bâtiment, les murs pouvaient annoncer l'existence de petites boutiques, comme dans un forum. » Ce qui est sûr, c'est que l'édifice devait être richement décoré, vu le nombre de fragments de marbre qui ont été retrouvés. Des dizaines de moulures, des fragments de statues, dont ce tibia exposé au musée de Borda, qui laisse imaginer la taille réelle de l'ensemble de l'effigie à qui il appartenait.
http://www.sudouest.fr/2011/07/12/une-crypte-antique-qui-conserve-tout-son-mystere-450152-3350.php
- FRANCE – Saint Dizier - La fouille du site des Crassés, à St-Dizier, situé en contrebas du rond-point de la zone commerciale du Chêne St-Amand, a été entreprise début juillet par une équipe d'archéologues de l'Inrap et de bénévoles pour une durée de 3 semaines. Cette fouille programmée, qui n'est donc pas provoquée par un projet d'aménagement, reprendra tous les étés pendant au moins cinq ans. L'objectif est de commencer l'étude d'une nécropole du haut Moyen-Age (mérovingien-carolingien) découverte en 2004 et de poursuivre celle de la villa gallo-romaine voisine, commencée par Louis Lepage dans les années 1960. La campagne de fouilles effectuée cet été s'intéresse à une quarantaine de tombes de la nécropole. Selon Raphaël Durost, le second archéologue de l'Inrap responsable de ces fouilles, la nécropole devrait contenir environ 400 tombes du haut Moyen-Age, sur la partie haute des Crassés, et s'étendre bien au-delà de la parcelle acquise par la Ville de St-Dizier. « Nous découvrons des corps qui furent enterrés en sarcophages, en cercueils de bois, ou en pleine terre, simplement enveloppés dans un linceul. », explique l'archéologue avant de poursuivre : « Nous aimerions trouver les sépultures les plus anciennes afin de savoir quand une population importante s'est installée à proximité de Saint-Dizier. » La seconde phase de recherche s'intéressera à la villa des Crassés, située à quelques mètres de là. Elle débutera courant 2012 sous la direction de Raphaël Durost. Ces fouilles auront pour objectif de mieux connaître ce domaine agricole, propriété d'un notable local de l'époque. A ce jour, il semble que la villa ait été composée de trois ailes, deux d'entre elles abritant les granges, écuries et étables et au centre le bâtiment principal accueillant l'habitation du propriétaire. « Louis Lepage a fouillé partiellement cette villa et en a découvert le quartier thermal avec piscine d'eau chaude et d'eau froide. Nous voulons étendre les fouilles pour essayer de découvrir les salles de réception et les appartements. Cette fouille a un intérêt majeur du point de vue local et patrimonial, « La villa étant peut-être à l'origine de Saint-Dizier. » mais également un intérêt national puisqu'elle pourrait faire avancer les connaissances liées à cette époque et ainsi montrer qu'il existe une continuité entre l'Antiquité et le Moyen Âge.
http://www.newspress.fr/Communique_FR_243449_1541.aspx
- GRECE - The regions of Pella, Imathia and Pieria in northern Greece have teamed up in a program aimed at promoting the legacy of Alexander the Great in their region by developing a network of museums and monuments. The network will be promoted as a unified destination of archaeological interest called “At the Roots of Alexander the Great,” and will include the sites of Aeges-Vergina, Dion, Ancient Pella, the School of Aristotle, the burial site of the kings of Macedon, the Ancient Theater of Mieza and others.
http://www.ekathimerini.com/4dcgi/_w_articles_wsite4_26059_11/07/2011_397918
- FRANCE – Istres - À l'endroit où s'érigera bientôt le nouvel Hôtel de Ville, les archéologues s'activent depuis déjà deux mois. "Les 8500m² à exploiter ont été partagés en troiszones, explique Frédéric Marty, archéologue au Pôle intercommunal du patrimoine culturel (PIPC) et responsable de l'opération. C'est dans la zone 1 que nous avons trouvé les vestiges plus récentsdatant du XIIIesiècle. Nous avons été surpris, car nous ne pensions pas trouver des traces d'occupation médiévale à cet endroit, même si dans le vieil Istres, il y a un castum du IX e siècle ". Le "mystère" des coquilles de moules Au sol, se dessinent des rangées plus ou moins organisées de fosses rubéfiées (recouvertes de terre rouge). "C'était des silos. Nous sommes en train d'en extraire la couche la plus basse pour comprendre ce qui y était conservé." Un peu plus loin, un membre de l'équipe s'active à sortir des fragments de céramiques. "Cet espace est difficilement rattachable à un espace précis. Sans doute était-ce un champ." Bien avant nos ancêtres médiévaux, les Romains occupaient cette zone. "Et là, leurs traces ne manquent pas, il n'y a pas un mètre carré où nous n'en trouvons pas", sourit Frédéric Marty. Un grand mur qui au fil du temps a été surélevé et élargi, une ou des bâtisses, un enclos…"Nous sommes ici sur une vaste ferme datant du Ier -II e s. Mais bizarrement, nous n'avons trouvé que très peu d'ossements et énormément de coquilles de moules. " Une interrogation qui ne peut que se rajouter aux nombreuses autres. Le chantier n'en est qu'à son début: "On n'a pas fini de tout ouvrir, on essaie de voir la répartition, les plans, on fouille les pièces." Les archéologues sont donc à l'affût du moindre indice pour imaginer au plus près ce qu'étaient la vie quotidienne de ces Romains mais également leurs techniques de construction et d'exploitation. La zone 2 semble avoir éte l'espace le plus habité. Quant à la zone 3, récemment ouverte, "elle suggère au premier abord une architecture plus soignée. Mais nous ne pouvons pas encore donner plus d'explications. Pas mal de questions restent à résoudre."
http://www.laprovence.com/article/istres/depuis-le-castellan-2-000-ans-dhistoire-nous-contemplent