05 FEVRIER 2018: Phaistos - Vallée des Rois - Le Blanc - Alger -

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GRECE6380 Phaistos - The mystery of the Phaitos Disk has been “solved by 99 percent” says linguist and archaeologist Gareth Owens. Owens, who has devoted 30 years in trying to solve the puzzle, will make an official announcement of the results of his research on February 7. Ιn an interview with the Athens-Macedonian News Agency he said that “We are reading the Phaistos disc with the vocal values of Linear B and with the help of comparative linguistics, ie comparing with other relative languages from the Indo-European language family. Reading something, however, does not mean understanding.” The Phaistos Disc is a disk of fired clay from the Minoan palace of Phaistos on the island of Crete, possibly dating to the middle or late Minoan Bronze Age (second millennium B.C.). The disk is about 15 cm (5.9 in) in diameter and covered on both sides with a spiral of stamped symbols. Its purpose and meaning, and even its original geographical place of manufacture, remain disputed, making it one of the most famous mysteries of archaeology. This unique object is now on display at the archaeological museum of Heraklion.

http://greece.greekreporter.com/2018/02/03/archaeologist-cracks-mystery-of-phaistos-disk/

EGYPTE 1164349 11 20180202101832 Vallée des Rois - The theory that King Tut's tomb also holds the remains of his stepmother, the legendary Queen Nefertiti, has tantalized Egyptian archaeology for nearly three years. But after two scans with ground-penetrating radar proved inconclusive, National Geographic reports that third major scan is underway at the tomb in Luxor's Valley of the Kings, and it has exclusive photos of the operation. The scan will search the walls of Tut's tomb for signs of a hidden chamber and is expected to take about a week, report CBS News. Several weeks of analysis will then follow. Egyptologist Nicholas Reeves believed he saw telltale signs—traces of sealed entrances in the north and west walls of Tut's tomb—in a 2015 scan. It's also been determined that the north wall was initially painted a different color than the others, while paintings on the wall also follow a different pattern than those on the others. This might suggest the wall—where infrared thermography found temperature variations—was built some time before the others. But though experts said a 2015 scan indicated chambers present behind the north and west walls, a second scan in 2016 found nothing. The third scan, being led by the Polytechnic University of Turin, aims to settle whether any voids in the rock exist. If so, archaeologists would then begin the next phase of seeing what's inside them.

http://www.newser.com/story/254911/final-answer-may-be-near-on-king-tut-tomb-mystery.html

FRANCE5a751436459a4557318b4665 Le Blanc - L’intervention de l’Inrap, place de la Libération, laissait présager des découvertes intéressantes. Si le sol a été maintes fois chamboulé, la proximité de l’ancien couvent des Augustins, qui transparaît encore dans l’ancienne mairie, incitait Matthieu Munos et Jérôme Livet à l’optimisme.  Ils ont trouvé une médaille du XVIIe siècle, des fragments de céramique, des ossements épars, trois squelettes intacts et des sarcophages. Rien de bien étonnant jusqu’ici pour l’historien local Patrick Grosjean qui évoque une fouille réalisée dans les années 1970 « qui avait livré du mobilier archéologique, des squelettes et même des fioles en verre gallo-romaines qui sont exposées dans notre Musée des Amis du Blanc. On savait que le cimetière des Augustins se trouvait dans cette zone, mais on ne s’attendait pas à ce qu’il y ait des restes aussi bien conservés. » L’affaire prend une autre tournure quand on sait que les religieux se sont établis au XIVe siècle et qu’une partie des ossements daterait du… XIIe siècle ! « C’est extrêmement bizarre, confie Patrick Grosjean. Nous pensions que cet espace était vierge. » Les sarcophages, formés de dalles séparées, constituent une autre énigme. « Nous sommes dans un espace ouvert, sans aucune construction ni aménagement de place, mais où il y a une nécropole », expliquait, hier matin, Matthieu Munos. Ces sarcophages semblent correspondre à ceux qui ont été découverts à Châteauroux, sur le chantier de la place Saint-Christophe. « Nous nous posons beaucoup de questions, et la situation va évoluer au fil des recherches, poursuivait Pascal Allilaire. Nous attendons le rapport final pour y voir plus clair. »

https://www.lanouvellerepublique.fr/indre/decouvertes-mysterieuses-place-de-la-liberation?queryId%5Bquery1%5D=57cd2206459a452f008b4594&queryId%5Bquery2%5D=57c95b34479a452f008b459d&page=11&pageId=57da5ce5459a4552008b469a

ALGERIESlide 489972 6754836 compressed Slide 489972 6754832 compressed Alger - Située au bas de la vieille médina d’Alger, dont elle était, il y a si longtemps, le prolongement, la place des Martyrs a désormais un nouveau visage. La suppression de l’immense clôture métallique qui l’entourait depuis le début des travaux du métro, en 2009, a délivré aux regards des Algérois d’importants vestiges archéologiques qui les font voyager à travers 2000 ans d’histoire, depuis Ikosim, la phénicienne, jusqu’à El Djazaïr, en passant par Ikosium la romaine.  Un agent de l’Office de gestion et d’exploitation des biens culturels protégés (OGEBC) vient juste d’accrocher un panneau sur lequel sont mentionnées de nombreuses explications sur l’une des plus vieilles mosquées de La Casbah, Essayida en l’occurrence, détruite dès l’invasion des troupes française en 1830. Aujourd’hui, cet édifice est bien apparent, avec les traces de ses colonnes en marbre arrachées, sa mosaïque et ses dépendances. Une pure merveille qui s’étend jusqu’à la ruelle qui mène vers la mosquée Ketchaoua. Une bonne partie des fondations de ce lieu de culte sont visibles, et un peu plus vers le bas on voit les dallages des voies romaines et d’une basilique byzantine, mais aussi une très belle fontaine. Chacune des strates en cascade conserve un pan de l’histoire du quartier. Des lampes, des amphores ou encore des fragments de plats et assiettes remontant à l’antiquité ainsi que des perles en pâte de verre datées de la période byzantine, des ossements humains retirés d’une nécropole byzantine, des chandeliers, des cruches, de la faïence et des tomettes de terre cuite ottomanes, des pipes en céramique, des creusets servant à la fusion des métaux, des boulets à catapulte en pierre, des boulets de canon en métal et des balles de mousquet en plomb, etc. Bref, plein d’objets de la vie courante, les différents habitants de la cité durant 22 siècles, prouvant encore une fois l’importance du choix de son emplacement stratégique. 

http://www.elwatan.com/-00-00-0000-361788_109.php